Trois des plus grands mensonges du Brexit repris par les Frexiters .

Les mensonges sur l’Union Européenne ont amené le Brexit, car les Brexiters n’ont pas eu le réflexe de vérifier ce qu’on leur a mis dans la tête pendant des années (Médias de Murdoch , Farage, UKIP, EDL *English Defense League etc.). Et comme ils n’avaient aucune idée de ce que l’UE nous apporte au quotidien, il était dès lors facile de leur raconter n’importe quoi. La même chose fonctionne en France avec les Frexiters, qui courent derrière Philippot dans les rues en sautillant le samedi en hurlant au Frexit, certains que la France sortirait grandie d’un Frexit . On a tous vu le désastre du Brexit, et qui va crescendo, du crash de l’économie, à l’instabilité politique (valse des premiers ministres, car le Brexit est impossible à mettre en oeuvre, de par la nature même des mensonges et de la perte des droits qu’il entraîne).

La politique britannique a été plongée dans la tourmente après que le pays a voté en faveur du Brexit en 2016, donnant un sérieux coup de pouce à Boris Johnson qui avait ouvertement soutenu la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.

L’ancien premier ministre David Cameron a été contraint de démissionner en juillet 2016 après que les Anglais ont voté pour le Brexit lors d’un référendum. Cela a conduit Theresa May à prendre le poste de premier ministre.

Cependant, May a démissionné en juillet 2019 après avoir échoué à obtenir le soutien du Parlement sur son accord de Brexit. En fait, May a dû faire face à un vote de défiance elle-même, les députés conservateurs cherchant à la pousser hors du pouvoir après qu’elle ait reporté le vote du Parlement britannique sur l’accord de Brexit. May a cependant survécu au vote de défiance par 200 voix contre 117.

 

Puis ce fut le tour de Johnson, qui a survécu à plusieurs scandales, jusqu’à ce que les scandales l’amènent à démissionner. Puis on a eu Liz Truss, qui démissionna après 45 jours, et maintenant Rishi Sunak.

Le Royaume-Uni a donc son cinquième premier ministre depuis le référendum de 2016 sur le Brexit, soit le même nombre que lors des 37 années précédentes.

 

https://www.standard.co.uk/comment/comment/six-years-on-brexit-lies-boris-johnson-b1007936.html

https://www.wionews.com/world/how-brexit-created-political-instability-in-britain-485662

Perte de souveraineté.

Le camp du “Leave” s’est rassemblé autour de l’idée que le Brexit était le seul moyen pour Westminster de récupérer sa souveraineté confisquée. Cette idée a semblé prendre de l’ampleur pendant la campagne, pour finalement aboutir, du moins dans une certaine mesure, à ce qu’une majorité d’électeurs britanniques choisissent de quitter l’Union européenne, ce concept est, en soi, d’une importance cruciale pour le débat politique et comment il a joué un rôle déterminant dans la campagne du Leave.
La campagne du “Leave” a abondamment recouru à la propagande sur l’utilisation prétendument écrasante et ridicule de la législation européenne pour les choses les plus insignifiantes. Cela a été illustré par le nombre de réglementations européennes prétendument appliquées à un oreiller dans un film financé par la foule, “Brexit, the Movie”, qui a été vu plus de 681 000 fois sur Youtube. Un segment, intitulé “Regulated People with Regulated Lives”, compare la législation européenne à “des fils barbelés invisibles qui nous entourent”. Même s’il est absurde et mal fondé, ce dénigrement de la réglementation européenne existe depuis des années.

Robin Niblett, Rethinking sovereignty : why taking back control is an empty slogan, 12 juin 2016.

Certains considèrent que la souveraineté est quelque chose que les États peuvent vouloir mettre en commun afin de rejoindre un grand marché réglementé collectivement qui offre plus d’avantages que de rester seul. Pour les Brexiters, la souveraineté est quelque chose qu’un État possède entièrement ou pas du tout, et qui ne peut donc pas être partagée ou divisée.

 

Dès le départ, le Brexit était un projet chimérique. Prenez la centralité symbolique de la pêche – qui représente moins de 0,1 % de l’économie du Royaume-Uni – dans les négociations sur les futures relations entre le Royaume-Uni et l’UE. De nombreuses questions de fond sont en jeu, mais pour comprendre le Brexit, il faut saisir l’étrange conception anglaise, profondément anachronique, de la souveraineté dont il découle.

Lien vers un site répertoriant la liste des mensonges du Brexit , mis à jour régulière , elle est énorme.

https://brexitlies.com/?fbclid=IwAR2HvQcm9QIMQcSawFef7_xcoqlgURt6qsThluy9sjj1O2x1laKmHiYVdv8#t20

 

La coopération des partenaires.

Traditionnellement, la souveraineté fait référence à la capacité d’un État à prendre des décisions sur des événements à l’intérieur de ses frontières sans inférence extérieure. La mondialisation a toutefois progressivement privé les États isolés du contrôle de leurs affaires économiques. L’industrie manufacturière et le commerce mondiaux dépendent de plus en plus de la coopération des partenaires commerciaux, pour que les marchandises passent les frontières et soient acceptées pour la vente sur les marchés étrangers. De ce point de vue, les accords de libre-échange et les institutions telles que le marché unique de l’UE ne reflètent pas une perte mais une mise en commun de la souveraineté : le contrôle est étendu au-delà des frontières de l’État.

Même dans le cadre de la politique mondiale, la souveraineté ne se réfère plus exclusivement à la capacité de l’État à prendre des décisions arbitraires, mais plutôt à son obligation internationale de “préserver les normes de survie de ses citoyens”, tout en respectant plus largement l’État de droit et les conventions d’après-guerre sur les droits de l’homme. La souveraineté concerne donc la responsabilité de protéger les droits et les intérêts de la population, et non le contrôle.

Le succès de ” reprendre le contrôle “, le slogan clé de la campagne Leave en 2016, ne reposait pas seulement sur l’idée dépassée que la souveraineté est la capacité d’un État à prendre des décisions sans entrave à l’intérieur de ses frontières…

La souveraineté peut encore séduire les peuples qui en ont été privés pendant les décennies du communisme qu’ils n’avaient pas choisi, ainsi que ceux qui, mal à l’aise dans les frontières de leur État, aspirent à la souveraineté. Ce double public de supporters de la souveraineté justifie l’attraction qu’elle exerce encore et qui se manifeste par des réticences – voire des résistances – à l’égard de l’Union européenne. Joignons-y une troisième catégorie, ceux qui imputent à l’Union les failles, voire les faillites, de leurs propres gouvernants et sont d’avis que tout irait mieux si les États souverains défaisaient l’Union qu’ils ont créée ou si leur État quittait l’Union, au nom de sa souveraineté. Bref, l’invocation de la souveraineté a encore de beaux jours devant elle en Europe !

Fondée sur des traités internationaux, révisés par des procédures qui exigent l’unanimité des États membres, l’Union européenne repose, en définitive, sur le consentement donné par les États membres à son existence et à ses développements. Telle quelle, l’Union semble bien être une manifestation des souverainetés conjointes de ses États membres, sans nullement paraître les menacer de dissolution. Au contraire même : on peut estimer que l’Union concourt à la sauvegarde des souverainetés de ses États membres en assurant son soutien financier aux États menacés de défaut de paiement

La perte de souveraineté des États dans l’UE : un mythe bien utile

https://www.touteleurope.eu/fonctionnement-de-l-ue/souverainete-nationale-vs-union-europeenne-3-minutes-pour-comprendre/#quiz

Moins de lois d’origine européenne que nationale.

Aujourd’hui, selon les études, entre 10 et 30 % des lois françaises sont d’origine européenne. Contrairement au mythe des “80% de lois d’origine européenne” , la plupart des mesures adoptées par les Etats membres ne viennent donc pas de l’UE, mais des seuls pouvoirs législatifs et exécutifs nationaux.
Le plus souvent, les Etats de l’UE agissent et légifèrent “seuls”, sans que leurs mesures ne soient prises en concertation avec les autres Etats membres.
C’est le cas lorsque la France décide de réduire la vitesse autorisée sur les routes ou encore d’interdire le portable à l’école, pour ne citer que quelques exemples.

Ce fut le cas aussi lors de la pandémie, lorsque la France décida de fermer ses frontières quand d’autres pays de l’UE les ont laissées ouvertes.

 

L’influence des Etats sur les décisions européennes.

Lorsque l’Union agit, cela ne signifie pas pour autant que les Etats n’ont aucun mot à dire sur les règles européennes. L’Union européenne, ce n’est pas que la Commission à Bruxelles. C’est aussi les Etats membres réunis en Conseil de l’UE (ministres) ou en Conseil européen (chefs d’Etats ou de gouvernements), par lesquels passent la plupart des décisions européennes. Le Conseil européen insuffle généralement les grandes orientations à prendre, tandis que le Conseil de l’UE a le pouvoir d’amender et d’adopter la législation européenne, avec le Parlement européen.

Quelle répartition des compétences ?

Dans quels domaines les Etats peuvent-ils agir seuls ? Quand doivent-ils passer par le cadre européen ?
Tout d’abord, précisons que l’UE ne possède aucun pouvoir qui ne soit pas défini par les traités. Par exemple, en matière de nationalité, les règles permettant à un individu d’obtenir la nationalité française sont exclusivement définies par la France, hors du cadre européen.
Ensuite, lorsqu’elles sont définies par les traités, les compétences de l’UE diffèrent selon les domaines. Dans certains (politique monétaire, commerce extérieur, concurrence…), l’UE est la seule à pouvoir adopter des décisions contraignantes : il s’agit des compétences exclusives. Les Etats ne peuvent alors qu’agir tous ensemble, au niveau européen (le plus souvent via le Conseil de l’Union européenne).
Dans 13 domaines (environnement, transports…), les compétences sont partagées entre l’UE et les Etats. Pour déterminer qui des deux décide, on part du principe que l’UE n’a la priorité que lorsque son action est jugée plus efficace que celle des Etats membres (principe de subsidiarité). Mais ce n’est pas toujours simple, et la Cour de Justice de l’UE doit souvent clarifier la situation.
Le troisième grand type de compétences, d’appui, regroupe les domaines dans lesquels l’UE peut intervenir uniquement pour appuyer les actions des Etats, mais sans harmoniser leurs législations et réglementations. C’est le cas de la culture, de la santé, de l’éducation…

Enfin, l’Union européenne dispose de compétences particulières dans le domaine de la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) : chaque Etat conserve sa souveraineté en la matière, mais l’UE dispose d’un cadre pour mieux coordonner l’action des Vingt-Sept.

Financement :

L’article 53 de loi de finances pour 2022 fixe à 26 359 millions d’euros la contribution de la France au budget de l’Union européenne pour 2022.

L’impact du Brexit sur le budget européen D’après les données de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, le départ du Royaume-Uni fait perdre à l’UE l’équivalent de 15,5 % de ses ressources propres, soit 27,9 milliards d’euros par an. Deux mécanismes viennent partiellement compenser cette perte. Premièrement, le départ du Royaume-Uni entraîne la fin du financement du “rabais” britannique, soit une économie estimée de plus de 5 milliards d’euros par an. Deuxièmement, si le Royaume-Uni n’est plus un Etat membre de l’UE depuis le 1er février 2020, le pays continue de verser une contribution au budget communautaire. Il s’agit en effet de la facture dont il doit s’acquitter, conformément à l’accord de retrait conclu en octobre 2019, afin d’honorer les engagements financiers pris lorsque le Royaume-Uni était encore membre de l’UE. Selon les calculs de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, le Royaume-Uni devrait alimenter le budget de l’UE à hauteur de 5 milliards d’euros par an en moyenne pendant encore quelques années (et plus de 10 milliards d’euros en 2022).

Chaque année, la France verse près de 20 milliards d’euros au budget européen. En retour, elle en perçoit un peu plus de 13 milliards.

https://www.touteleurope.eu/fonctionnement-de-l-ue/budget-europeen-quelles-ressources-propres-pour-l-union-europeenne/

https://www.europe-en-france.gouv.fr/fr

https://www.europe-en-france.gouv.fr/fr/fonds-europeens/politique-de-developpement-rural

https://www.europe-en-france.gouv.fr/fr

https://www.what-europe-does-for-me.eu/fr/portal

 

Immigration et reprise de contrôle ( autre mensonge commun).

Le Brexit a eu lieu, et un nouvel accord entre l’UE et le Royaume-Uni est entré en vigueur au début de 2021. Mais la migration est quasiment absente du texte. Cela signifie-t-il que le Royaume-Uni a “repris” le contrôle de l’immigration, comme l’avait promis la campagne du “Leave” ? Une analyse attentive montre que ce n’est pas le cas. Au contraire, l’absence de coopération avec l’UE en matière de migration crée une situation dangereuse pour la gestion des flux migratoires

Il est douteux que le Brexit ait permis de reprendre le contrôle de l’immigration au Royaume-Uni. Le gouvernement britannique a obtenu, à un coût excessif, un meilleur contrôle des flux d’immigration en baisse en provenance des pays de l’UE, mais il a perdu l’accès aux instruments utiles de l’UE pour contrôler les flux d’immigration en hausse en provenance des pays tiers. Le Royaume-Uni ayant joué un rôle de premier plan dans l’élaboration des instruments communautaires de contrôle de l’immigration en provenance des pays tiers, on aurait pu s’attendre à ce qu’il conserve une relation étroite avec l’UE.

Il ne s’agit pas seulement d’une occasion manquée, mais d’une situation dangereuse. Dans les mois et les années à venir, l’UE et le Royaume-Uni seront confrontés au défi de gérer leur interdépendance migratoire sans cadre. Il est illusoire de croire que des contacts diplomatiques fréquents suffiront, ou que les canaux bilatéraux peuvent compenser l’absence d’un accord européen. Les tentatives unilatérales d’expulsion et le manque de volonté de coopérer dans les cas compliqués peuvent dégénérer en crise.

Il importe maintenant de concevoir un cadre global pour gérer les flux migratoires entre l’UE et le Royaume-Uni afin d’éviter de graves heurts internationaux. Ce cadre pourrait ressembler à la coopération antérieure à laquelle le Royaume-Uni a participé en tant que membre de l’UE. Il pourrait inclure un certain retour du Royaume-Uni dans le système de Dublin et de nouvelles contributions britanniques aux missions de l’UE en Méditerranée, aux programmes de l’UE avec les pays tiers d’origine ou de transit, et au budget d’Europol. Ce n’est qu’en coopérant avec l’UE que le Royaume-Uni pourra garder le contrôle de l’immigration.

https://www.cidob.org/en/publications/publication_series/opinion/2021/post_brexit_uk_has_not_taken_back_control_of_immigration

Migration irrégulière.

L’Union Européenne a adopté plusieurs actes législatifs majeurs dans le domaine de la lutte contre la migration irrégulière:
Le train de mesures relatives aux passeurs comprend la directive 2002/90/CE du Conseil, qui établit une définition commune de l’infraction d’aide à l’entrée, au transit et au séjour irréguliers, et la décision-cadre 2002/946/JAI du Conseil, qui instaure des sanctions pénales contre ces pratiques. La directive 2011/36/UE concerne la prévention de la traite des êtres humains et la lutte contre ce phénomène ainsi que la protection des victimes. Le train de mesures s’est étoffé de la directive 2004/81/CE du Conseil, qui prévoit l’octroi d’un titre de séjour aux victimes de traite ou de trafic illicite qui coopèrent avec les autorités compétentes (sur la traite, consulter également la fiche relative à la coopération judiciaire en matière pénale 4.2.6). En mai 2015, la Commission a adopté le plan d’action de l’UE contre le trafic de migrants (2015-2020) et, conformément au plan d’action, elle a réalisé une évaluation REFIT de l’application du cadre juridique existant, après avoir mené une consultation publique. La Commission a constaté alors qu’elle ne disposait pas de suffisamment d’éléments qui indiqueraient l’existence de poursuites répétées à l’encontre de personnes ou d’organisations ayant apporté une aide humanitaire, et a conclu que le cadre juridique de l’Union relatif au trafic de migrants restait nécessaire dans le contexte actuel. Le Parlement, dans sa résolution du 5 juillet 2018, a demandé à la Commission d’élaborer des lignes directrices à l’intention des États membres en vue d’éviter la criminalisation de l’aide humanitaire, et une audition sur ce sujet a eu lieu en septembre 2018. Dans le cadre de son nouveau pacte, la Commission a publié une communication qui fournit des orientations relatives à l’interprétation de la directive sur l’aide aux migrants, dans laquelle elle indique que l’exécution de l’obligation légale de sauvetage des personnes en détresse en mer ne peut être criminalisée, sans toutefois demander des efforts supplémentaires, laissant les activités de recherche et de sauvetage entre les mains d’ONG et de navires privés. À l’issue d’une consultation publique, la Commission a adopté, en septembre 2021, un nouveau plan d’action de l’UE contre le trafic de migrants pour la période 2021-2025, qui comprendra une intensification des efforts visant à prévenir la criminalisation de l’aide humanitaire et un rapport sur la mise en œuvre du train de mesures relatives aux passeurs en 2023.

La directive «Retour» (2008/115/CE)fixe les normes et les procédures européennes communes applicables au retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier.

https://www.europarl.europa.eu/factsheets/fr/sheet/152/immigration-policy

 

Mensonge : l’Union Européenne laisse entrer n’importe quel produit importé sans contrôle  : FAUX!

 

Contrôle des produits importés y compris hors EU.

 

Les contrôles douaniers aux frontières extérieures de l’UE protègent les consommateurs contre les biens et produits dangereux ou nocifs pour leur santé. Ils protègent les animaux et l’environnement en luttant contre le commerce illicite d’espèces menacées et en prévenant les maladies animales et végétales.
Les autorités douanières coopèrent avec les services de police et d’immigration en matière de lutte contre la criminalité organisée et le terrorisme. Ensemble, ils luttent contre le trafic d’êtres humains, de drogues, d’armes et de marchandises de contrefaçon, et vérifient que les voyageurs transportant des montants importants en espèces ne le font pas à des fins de blanchiment d’argent, d’évasion fiscale, voire de financement d’organisations criminelles.
Les douanes de l’UE luttent également contre la fraude fiscale et en matière de droits de douane commise par des entreprises et des particuliers, qui prive les États membres de recettes essentielles destinées à des dépenses publiques.

https://www.douane.gouv.fr/fiche/restriction-de-circulation-ou-interdiction-de-certaines-marchandises

 

https://european-union.europa.eu/priorities-and-actions/actions-topic/customs_fr

 

Je n’ai listé que 3 ou 4 des plus gros mensonges du Brexit , repris par nos Frexiters. La liste de leurs mensonges est sans fin, et ce sont les mêmes que j’ai entendus, pendant toute la campagne Leave, et pour cause, ils emploient le même playbook.

Murielle STENTZEL.